France Cayouette vit à Carleton-sur-Mer. Après une carrière dans l’enseignement de la littérature et de la création littéraire au collégial, elle anime des ateliers d’écriture et offre diverses formes d’accompagnement dans ce domaine.

Elle a publié trois recueils de poésie aux Éditions du Noroît : Jolie vente de débarras (2008), Voix indigènes (2014) et Doublure du monde (2021). Ses recueils de haïkus ont paru aux Éditions David et Pippa.

Arbres debout sur nos paupières (mars 2025), son premier livre publié aux éditions du passage, fait suite au spectacle littéraire éponyme coproduit par le Théâtre À tour de rôle et Poème en août en 2023.

Trois de ses suites poétiques ont déjà été en lice pour le Prix de poésie Radio-Canada et son recueil Voix indigènes a été finaliste au Prix du CALQ-Œuvre de l’année en Gaspésie.

Les rapports entre le texte et les autres disciplines artistiques l’interpellent de plus en plus. Les liens qui se tissent entre paysages extérieurs et paysages intérieurs, le sacré qui s’immisce dans le quotidien et la beauté comme voie d’élévation sont au cœur de sa démarche.

Mon univers : les œuvres marquantes

- Cinq méditations sur la beauté de François Cheng et Regards sur le poème de Michel Pleau.

- Le bruit des choses vivantes d’Élise Turcotte, Le monde sur le flanc de la truite de Robert Lalonde, L’écume des jours de Boris Vian, Antigone de Sophocle et d’Anouilh ainsi que les œuvres d’Alessandro Baricco et d’Hubert Mingarelli.

- La poésie de Martine Audet, Louise Dupré, Louise Warren, Rachel Leclerc, Marie Uguay et François Charron ainsi que la poésie surréaliste française et la poésie classique japonaise.

- La leçon de piano de Jane Campion et l’œuvre littéraire et cinématographique de Marguerite Duras.

- Ave Maria de Giulio Caccini, Für Alina d’Arvo Pärt et Tu m’aimes-tu de Richard Desjardins.